Nom :Waik K. Orizo
Age :45 printemps
Sexe :Masculin
Classe :Médic
Equipe : Reliable Excavation Demolition
Armes et équipements :-Scie à amputation
-Glock caché sous sa veste en toute circonstance
-Une trousse de soins comportant : Des seringues, de la morphine, des pansements et des pilules contre la diarrhée.
-Un médigun bas de gamme, offert par son parrain lors de sa 1er année en médecine.
Description physique :1m85, blond aux yeux bleus. Des cicatrices sur la totalité de son corps suite à des éclats d’obus et d’autre conflit plus officieux chez des mafieux.
Caractère :Il se lie très facilement d’amitié avec quelqu’un qui à au moins un point commune avec lui : l’argent. Sa vénalité lui a permis d’avoir comme amis toutes ces petites pièces jaunes dans son porte-feuille
Background (histoire) :Né de parents allemands banquiers, Waik fût un enfant pourri gaté. Grâce à de nombreux pistons et pot de vins, il réussit à devenir médecin. A 28 ans, Waik rentrit chez lui est découvrit avec horreurs la disparition de ses parents avec un message des ravisseurs, qui n’était rien d’autre que les créanciers de ses parents : Reliable Excavation Demolition . Une somme phénoménale fût demandé et commença alors l’exode de Waik pour trouver cette monnaie.
A 30 ans, il fût engagé par la mafia pour les guérir officieusement .
A 32 ans, il parcourait les marché noir pour vendre les organes des mafieux morts de sa main.
A 33 ans, il participa à de nombreux conflits qui mutila l’intégralité de son corps.
A 40 ans, il trouve un moyen rapide de rembourser la RED : En échange de liasse aussi grosse que l’encyclopédie, il changeait le visage des espions qui le souhaitèrent. Mais voilà, l’arrivé d’un nouveau gadget lui pourri son plan : Le Spy-o-tron 3000.
A 45 ans, la société avait besoin de lui. Le contrat était simple : « Tu détruis la société dans face, on libère tes parents. »
Pourquoi fait-il tout ça ? En 17 ans ces parents ont pus mourir une trentaine de fois, mais voilà, sa vie n’a plus de sens, il est recherché par les polices du monde entier. « Rien à perdre, tout à gagner. » Voilà c’est derniers mots d’homme libre.
Remarques (Optionel) :Ne cligne jamais les deux yeux en même temps.