Cathal Bowen

Nom : Cathal Bowen
Age : 21
Sexe : Homme
Classe : Scout
Equipe : BLU
Armes et équipements :

-Scoped Scattergun
-Un China Type 54 Black Star
-Une pôele à frire

Description physique : Du haut de ses 1M72, Cathal est juste à la bonne taille pour les montagnes Russes, et il en est fier. Brun doté d'une queue de cheval et d'yeux verts, d'une barbe mal rasée, de cernes digne d'un junkie et d'une casquette noir, Cathal a tout l'air d'un petit teigneux.
Caractère : Malgré un tempérament plutôt moqueur et agressif, Cathal aime rire et discuter avec ses proches. Il a tendance à se croire invincible et au dessus de tout ses adversaires, ce qui lui enlève toute notion de peur. C'est un gamin irresponsable, qui pourrait tuer sa propre mère pour arriver à ses fins.

Background (histoire) :

Né d'un père Français et d'une mère Américaine au fin fond du bon vieux Texas, et élevé dans celui-ci, Cathal n'a pas eu une enfance très palpitante. Son père, en bon nouveau redneck, s'amusait à lui faire abattre serpents, rapaces, et autres animaux peu imposants. Il se rappelle de ses parties de chasse avec son père, le sifflement des balles, le toucher de l'arme encore fumante, l'odeur de brulé lorsqu'il rechargeait. Il se souvient encore des speech sans fin de son père avant manger, dont il n'écoutait que quelques mots, impatient de dévorer les plats de sa mère. Il n'oubliera sûrement pas la chaleur du désert du texas, l'amour rafraichissant de sa mère et de la flamme dans les yeux de son père lorsqu'il réussissait à toucher sa cible. Malgré cette enfance peu banale, le quotidien de Cathal était monotone. Et puis il fut s'instruire, aller dans une école, se retrouver parmi d'autres enfants. Cathal, en bon paysan, était totalement inintéressé par les matières qu'on lui proposait, et ne se sentait pas particulièrement concerné par ses études.

"_Que va t-on faire de toi, bon dieu !? "

C'était peut-être la question qu'on lui a le plus posé en quelques années. " Ranaf' ", répondait t-il, d'une voix molle et fatiguée. L'holocauste des animaux, ça, c'était pas fatiguant, mais étudier, quel dur labeur. Il retrouva rapidement une vie monotone, qui consistait en dormir, dormir, dormir en cours, dormir, dormir en cours, se "dépenser" sur la tête de quelqu'un ou sur des animaux domestique pour être assez fatiguer pour recommencer le cycle. Tout le monde se plaignait de lui dans son quartier, il écrivait à sa famille en disant que tout allait bien. Il se découvrit une passion pour l'expérimentation. Lors d'un cours de chimie, on lui expliqua les fondements des expériences. Ça le passionnait. A tel point qu'il expérimenta différentes armes blanches sur ses camarades pour savoir laquelle était la meilleure. Il resta sur la poele à frire. Rapide, efficace, fait un joli bruit, casse éventuellement 5 dents. Seul inconvénient: ça se tâche facilement.

Après des années d'apprentissages catastrophique, il fallut trouver un travail. Ne sachant rien faire d'autre que cogner et tirer, Cathal décida de vivre une vie dangereuse, une vie de voleur. Étant plutôt bon dans le métier, il ne tarda pas de se faire remarquer par les autorités locales, et finis par vivre en alarme permanente. Il devint si paranoïaque qu'il tuait la moindre personne dans son chemin, et vint la première fois où il tua un agent de police. La situation devenait critique pour Cathal. Un jour, en fuite après s'être mis dans la tête qu'il pourrait cambrioler la banque de la ville où il c'était récemment installé, au détour d'une sombre ruelle, il tomba nez à nez avec un étranger dans une cape, portant un chapeau fedora. Il était si préoccupé par regarder derrière lui si on le poursuivait pas qu'il se cogna au torse de l'homme mystérieux. Il tomba à terre. Pour la première fois de sa vie, il se dit " ça y est, je suis vaincu. ". Il leva la tête pour voir qui était le trouble-fête. L'homme ricana, et lui tendis la main.

" Je connais un moyen de te racheter gamin, et surtout, de fuir la police. "

Cathal s'accrocha à la main de l'homme. Cathal questionna l'homme du regard, qui devait être habitué à cette situation.

" Builders League United. " Déclara t-il.


Remarque(s) : Motto: Même tes balles me rattraperaient pas, crétin.

Ce travail est ennuyant.

Tu l'as dit, vieille folle.